- EAN13
- 9782358481540
- ISBN
- 978-2-35848-154-0
- Éditeur
- Bleu autour
- Date de publication
- 16/09/2021
- Collection
- La petite collection de Bleu autour
- Nombre de pages
- 188
- Dimensions
- 22 x 14 x 1,2 cm
- Poids
- 292 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Leïla Sebbar & Isabelle Eberhardt
De Leila Sebbar
Illustrations de Sébastien Pignon
Préface de Manon Paillot
Bleu autour
La petite collection de Bleu autour
Offres
Un recueil de récits et nouvelles pour partie inédits où Leïla Sebbar nomadise avec Isabelle, son héroïne, sa muse, Isabelle Eberhardt.
La jeune Russe devenue Isabelle l'Algérien connaît l'arabe, se convertit à l'Islam, se marie avec le spahi Slimène, chevauche dans le désert, fréquente les lieux des hommes – la mosquée, le café maure, parfois le bordel – et disparaît à vingt-sept ans dans la crue d'un oued… Isabelle relie les deux rives de la Méditerranée, les deux versants de l'identité croisée de Leïla Sebbar qui ne parle pas la langue de [son] père?; elle la révèle à elle-même au fil de ses livres, elle lui redonne son Algérie perdue. Leïla Sebbar & Isabelle Eberhardt, c'est toute une histoire, comme un roman sans fin que décrypte une troisième lettrée, Manon Paillot. Leïla Sebbar, née outre-mer d'un père algérien et d'une mère française, vit en France depuis l'âge de vingt ans. Elle y est arrivée en 1961 pour suivre ses études de lettres à Aix-en-Provence puis à Paris, où elle a été professeure de français, productrice à France Culture et critique littéraire. Parallèlement, elle a construit une œuvre de romancière, de nouvelliste, d'essayiste et d'éditrice. Derniers livres parus, aux éditions Bleu autour?: Dans la chambre (nouvelles, 2019), L'Algérie en héritage (collectif codirigé avec Martine Mathieu-Job, 2020) et Lettre à mon père (2021), dernier volet de sa trilogie autobiographique?; les deux premiers, Je ne parle pas la langue de mon père et L'arabe comme un chant secret, sont réunis dans un recueil préfacé par Marie-Hélène Lafon.
La jeune Russe devenue Isabelle l'Algérien connaît l'arabe, se convertit à l'Islam, se marie avec le spahi Slimène, chevauche dans le désert, fréquente les lieux des hommes – la mosquée, le café maure, parfois le bordel – et disparaît à vingt-sept ans dans la crue d'un oued… Isabelle relie les deux rives de la Méditerranée, les deux versants de l'identité croisée de Leïla Sebbar qui ne parle pas la langue de [son] père?; elle la révèle à elle-même au fil de ses livres, elle lui redonne son Algérie perdue. Leïla Sebbar & Isabelle Eberhardt, c'est toute une histoire, comme un roman sans fin que décrypte une troisième lettrée, Manon Paillot. Leïla Sebbar, née outre-mer d'un père algérien et d'une mère française, vit en France depuis l'âge de vingt ans. Elle y est arrivée en 1961 pour suivre ses études de lettres à Aix-en-Provence puis à Paris, où elle a été professeure de français, productrice à France Culture et critique littéraire. Parallèlement, elle a construit une œuvre de romancière, de nouvelliste, d'essayiste et d'éditrice. Derniers livres parus, aux éditions Bleu autour?: Dans la chambre (nouvelles, 2019), L'Algérie en héritage (collectif codirigé avec Martine Mathieu-Job, 2020) et Lettre à mon père (2021), dernier volet de sa trilogie autobiographique?; les deux premiers, Je ne parle pas la langue de mon père et L'arabe comme un chant secret, sont réunis dans un recueil préfacé par Marie-Hélène Lafon.
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