Taxinomie du cinéma fantastique

21 - Le diable et ses serviteurs

Le livre sur le diable au cinéma avec un index de 220 entrées! Depuis «Cauchemars et hallucinations» de Richard Oswald [d'Orstein de son vrai nom] (1919) à «Aucun homme ni dieu» de Jeremy Saulnier (2018), en passant par «La Sorcellerie à travers les âges» de Benjamin Christensen (1921)» ou «L'Exorciste» de William Friedkin (1973), etc. «Le diable est dans les détails»! Dit-on souvent quand on veut la perfection. Oui, mais il est aussi souvent au cinéma, dans les films. Parfois comme vedette, d'autres fois comme force invisible qui sème le désordre, la zizanie et la désolation… Ou alors, il charge certains êtres humains de le faire à sa place, en leur donnant certains pouvoirs. C'est le cas, par exemple, avec les sorcières et les sorciers, mais aussi, bien d'autres. La plupart du temps, il ne signe pas ses crimes, mais il est toujours possible de le détecter. Le diable est le méchant qui crève le plus l'écran!