Maximilien Kolbe, prêtre, journaliste et martyr (1894-1941)
EAN13
9782262037215
Éditeur
Perrin
Date de publication
Collection
_SANS COLLECTION_
Langue
français
Fiches UNIMARC
S'identifier

Maximilien Kolbe

prêtre, journaliste et martyr (1894-1941)

Perrin

_Sans Collection_

Indisponible

Autre version disponible

A l'occasion du 70e anniversaire de sa mort, cette biographie du père
Maximilien-Marie Kolbe retrace l'itinéraire atypique de ce prêtre polonais
franciscain canonisé comme martyr par Jean-Paul II en 1982.


Né en Pologne à la fin du XIXe siècle, Raymond Kolbe, futur père Maximilien-
Marie, est marqué à jamais par une apparition de la Vierge durant son enfance.
Devenu prêtre franciscain, il fonde une chevalerie spirituelle prônant le don
total de soi à Marie, puis un journal destiné à en diffuser l'esprit. En 1927,
il bâtit un couvent près de Varsovie, où vivront près de huit cents religieux,
et qui abritera une maison d'édition et une station de radio, toutes deux
vouées à promouvoir la vénération de la Vierge. En 1939, le couvent cache des
réfugiés polonais et des juifs. Le 17 février 1941, le père Kolbe est arrêté
par la Gestapo et transféré à Auschwitz où il se sacrifie en se portant
volontaire pour remplacer un homme condamné par les nazis à mourir de faim.
Cette fin tragique et héroïque avait jusqu'ici masqué la trajectoire hors du
commun de ce patron de presse avant l'heure, qui n'hésita pas à aller jusqu'au
Japon pour convertir les âmes. Dans cette biographie richement documentée,
Philippe Maxence rend un vibrant hommage à ce prêtre qui fut canonisé comme
martyr par Jean-Paul II.

Journaliste et écrivain, Philippe Maxence est déjà l'auteur d'une biographie
de Baden-Powell et de plusieurs ouvrages sur la littérature anglaise
(Chesterton, Lewis).



\- Presse :

" Avec ce beau livre, Philippe Maxence a écrit une vie de saint qui n'est pas
une hagiographie : l'auteur ne dissimule ni les défauts humains de son héros
ni ce que sa mentalité devait à son pays et à son époque. Un travail de
discernement qui n'empêche pas de rendre hommage à une âme de feu."
Jean Sévillia, Le Figaro Magazine, 25 Juin 11
S'identifier pour envoyer des commentaires.