- EAN13
- 9791031000305
- Éditeur
- Les presses littéraires
- Date de publication
- 05/2014
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Autre version disponible
« Prendre les chemins de grands fûts » nous ramène, avec une touche de
nostalgie, aux sources essentielles : l’enfance, la maison familiale dans la
vallée avec ses disparus, le défilement des saisons, l’art d’exigence avec la
marche en montagne, la musique aussi, sans oublier la poésie, tout ce qui peut
nous aider à exister véritablement dans un monde artificiel et égoïste : «
Nous vivons sans le satin du regard ».
Il est des lieux aimés
qui nous ressemblent
se donnent à la mémoire
que l’on retrouve longtemps après
dans les armoires
à l’odeur sucrée de cire
du passé
Gisèle Sans
extrait de La maison dans la vallée
in Prendre les chemins de grands fûts
Gisèle Sans, d’origine ariégeoise, née à Paris où elle a suivi des études
littéraires, vit à Aix-en Provence. Elle écrit de la poésie depuis toujours.
Tous les arts la passionnent ; elle pratique elle-même la photographie. Auteur
de nombreux recueils, elle a été choisie par les éditions Seghers dans
l’anthologie L’Année poétique 2008.
nostalgie, aux sources essentielles : l’enfance, la maison familiale dans la
vallée avec ses disparus, le défilement des saisons, l’art d’exigence avec la
marche en montagne, la musique aussi, sans oublier la poésie, tout ce qui peut
nous aider à exister véritablement dans un monde artificiel et égoïste : «
Nous vivons sans le satin du regard ».
Il est des lieux aimés
qui nous ressemblent
se donnent à la mémoire
que l’on retrouve longtemps après
dans les armoires
à l’odeur sucrée de cire
du passé
Gisèle Sans
extrait de La maison dans la vallée
in Prendre les chemins de grands fûts
Gisèle Sans, d’origine ariégeoise, née à Paris où elle a suivi des études
littéraires, vit à Aix-en Provence. Elle écrit de la poésie depuis toujours.
Tous les arts la passionnent ; elle pratique elle-même la photographie. Auteur
de nombreux recueils, elle a été choisie par les éditions Seghers dans
l’anthologie L’Année poétique 2008.
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