- EAN13
- 9782919440924
- ISBN
- 978-2-919440-92-4
- Éditeur
- Apeiron
- Date de publication
- 26/11/2024
- Nombre de pages
- 55
- Dimensions
- 14 x 9 x 2,5 cm
- Poids
- 100 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Présentation longue :
«Chambre forêt» - Derrière ce titre rassurant évoquant un espace de beauté, de sérénité et de tranquillité loin du tumulte citadin, tout autant que d’espaces sauvages et d’aventures, se cache un texte tragique dans lequel la mémoire de la misère humaine scande le récit. Aucun vent de panique ne souffle pour autant aux oreille des lecteur.ice.s, humour noir et poésie s’imbriquant à merveille.
Il y a une forme de beauté qui cache une sourde menace dans ce récit à la première personne, au présent, qui crée une atmosphère, une ambiance propice au conte - c’en est un. Lecteur.ice.s-auditeur.ice.s tout à la fois, nous sommes plongé.e.s dans une ambiance de veillée autour du feu. Le conte s’oralise par l’écriture et l’écriture se fait parole. D’une certaine manière, ce texte est ici en suspens, consigné dans ce livre magnifié par les dessins d’Annie Courtiaud, sur lesquels sont venues se glisser quelques bribes de forêts, attendant d’être incarné, transmis oralement.
L’entremêlement de réflexions philosophiques et écologiques ponctuées de références mythologiques dans un futur proche, instaure une temporalité déroutante et rassurante tout à la fois ; les nombreuses adresses au lecteur nous ancrant à minima dans le temps du récit ! Et les jeux et joutes sur les sens des mots viennent accentuer les questionnements/errances littéraires/de la prose de la conteuse.
Un ballotement entre plusieurs temporalités nous amène par les codes du récit dans un endroit flou, ni totalement fable ni totalement conte, et pourtant les deux à la fois. Comme le calme avant la tempête… Tout peut arriver ! Nous sommes tenus en haleine.
Poésie et misère humaine se confondent en une seule et même chose, l’histoire, qui, de poème en poème nous fait suivre le fil de sa fuite, de sa vie.
Aucun doute, nous sommes envoûtés.
«Chambre forêt» - Derrière ce titre rassurant évoquant un espace de beauté, de sérénité et de tranquillité loin du tumulte citadin, tout autant que d’espaces sauvages et d’aventures, se cache un texte tragique dans lequel la mémoire de la misère humaine scande le récit. Aucun vent de panique ne souffle pour autant aux oreille des lecteur.ice.s, humour noir et poésie s’imbriquant à merveille.
Il y a une forme de beauté qui cache une sourde menace dans ce récit à la première personne, au présent, qui crée une atmosphère, une ambiance propice au conte - c’en est un. Lecteur.ice.s-auditeur.ice.s tout à la fois, nous sommes plongé.e.s dans une ambiance de veillée autour du feu. Le conte s’oralise par l’écriture et l’écriture se fait parole. D’une certaine manière, ce texte est ici en suspens, consigné dans ce livre magnifié par les dessins d’Annie Courtiaud, sur lesquels sont venues se glisser quelques bribes de forêts, attendant d’être incarné, transmis oralement.
L’entremêlement de réflexions philosophiques et écologiques ponctuées de références mythologiques dans un futur proche, instaure une temporalité déroutante et rassurante tout à la fois ; les nombreuses adresses au lecteur nous ancrant à minima dans le temps du récit ! Et les jeux et joutes sur les sens des mots viennent accentuer les questionnements/errances littéraires/de la prose de la conteuse.
Un ballotement entre plusieurs temporalités nous amène par les codes du récit dans un endroit flou, ni totalement fable ni totalement conte, et pourtant les deux à la fois. Comme le calme avant la tempête… Tout peut arriver ! Nous sommes tenus en haleine.
Poésie et misère humaine se confondent en une seule et même chose, l’histoire, qui, de poème en poème nous fait suivre le fil de sa fuite, de sa vie.
Aucun doute, nous sommes envoûtés.
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