- EAN13
- 9782376651536
- ISBN
- 978-2-37665-153-6
- Éditeur
- Contre-Allée
- Date de publication
- 18/10/2024
- Collection
- LA SENTINELLE
- Nombre de pages
- 176
- Dimensions
- 21,1 x 14,3 x 1,6 cm
- Poids
- 240 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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S’appuyant sur de nombreuses sources d’archives journalistiques, matériaux essentiels à son travail, Perrine Le Querrec explore l’histoire du danseur Nijinski. Dépassant la légende grâce à des années de recherches, écoutant les mille voix qui évoquent le danseur, cherchant la vérité au milieu des interprétations, démêlant l’intime et le public, l’autrice questionne le parcours et la fin d’un homme qui sombre dans la folie.
Mais surtout, d’un point de vue psychanalytique, l’autrice met en avant « la danse immobile » de Nijinski, apaisant ainsi la souffrance d’une vie d’internement, et replaçant Nijinski toujours au cœur d’une création, d’une avant-garde, dont les années d’asile l’ont privé.
Des salles de spectacle aux couloirs d’un hôpital psychiatrique, Nijinski passe de la lumière de la célébrité aux ombres de la honte ; Perrine le Querrec dresse le portrait de son Nijinski... Soudain Nijinski...
De Nijinski on sait qu’il fut danseur étoile
De Nijinski on sait qu’il sautait plus haut que quiconque
De Nijinski on connaît les Ballets russes, Diaghilev, L’Après-midi d’un faune
De Nijinski, Dieu de la danse, sans doute connait-on l’incroyable carrière
De Nijinski on connaît peut-être ses Cahiers
De Nijinski on connaît beaucoup la légende, les récits, les approximations
De Nijinski on croit connaître
De Nijinski sait-on qu’il dansa jusqu’à ses 29 ans
De Nijinski sait-on la dernière danse le 19 janvier 1919 à l’hôtel Suvretta en Suisse
De Nijinski sait-on ensuite l’effondrement
De Nijinski sait-on qu’il fut interné plus de 30 années
De Nijinski connaissons-nous le grand oubli où il fut abandonné
De Nijinski sait-on l’immobile comme une autre danse
Perrine Le Querrec
Mais surtout, d’un point de vue psychanalytique, l’autrice met en avant « la danse immobile » de Nijinski, apaisant ainsi la souffrance d’une vie d’internement, et replaçant Nijinski toujours au cœur d’une création, d’une avant-garde, dont les années d’asile l’ont privé.
Des salles de spectacle aux couloirs d’un hôpital psychiatrique, Nijinski passe de la lumière de la célébrité aux ombres de la honte ; Perrine le Querrec dresse le portrait de son Nijinski... Soudain Nijinski...
De Nijinski on sait qu’il fut danseur étoile
De Nijinski on sait qu’il sautait plus haut que quiconque
De Nijinski on connaît les Ballets russes, Diaghilev, L’Après-midi d’un faune
De Nijinski, Dieu de la danse, sans doute connait-on l’incroyable carrière
De Nijinski on connaît peut-être ses Cahiers
De Nijinski on connaît beaucoup la légende, les récits, les approximations
De Nijinski on croit connaître
De Nijinski sait-on qu’il dansa jusqu’à ses 29 ans
De Nijinski sait-on la dernière danse le 19 janvier 1919 à l’hôtel Suvretta en Suisse
De Nijinski sait-on ensuite l’effondrement
De Nijinski sait-on qu’il fut interné plus de 30 années
De Nijinski connaissons-nous le grand oubli où il fut abandonné
De Nijinski sait-on l’immobile comme une autre danse
Perrine Le Querrec
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