- EAN13
- 9782715254022
- ISBN
- 978-2-7152-5402-2
- Éditeur
- Mercure de France
- Date de publication
- 10/09/2020
- Collection
- Bibliothèque étrangère
- Nombre de pages
- 292
- Dimensions
- 20,5 x 14 x 1,9 cm
- Poids
- 412 g
- Langue
- français
- Langue d'origine
- anglais
- Fiches UNIMARC
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L'homme en rouge
De Julian Barnes
Traduit par Jean-Pierre Aoustin
Mercure de France
Bibliothèque étrangère
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Autre version disponible
On pourrait commencer, prosaïquement, par ce qui peut être décrit comme une robe de chambre. Rouge — ou plus exactement écarlate — et allant du cou jusqu’à la cheville, laissant voir des ruchés blancs aux poignets et à la gorge... Est-ce injuste de commencer par ce vêtement, plutôt que par l’homme qui le porte? Mais c’est ainsi représenté et ainsi vêtu que nous nous souvenons de lui aujourd’hui. Qu’en eût-il pensé? En aurait-il été rassuré, amusé, un peu offusqué?
«L’homme en rouge», peint par John Sargent en 1881, s’appelait Samuel Pozzi. Né à Bergerac en 1847, il allait vite devenir à Paris LE médecin à la mode, particulièrement apprécié des dames de la bonne société en tant que chirurgien et gynécologue. Beaucoup d’entre elles, dont Sarah Bernhardt, étaient aussi ses maîtresses et le surnommaient «L’Amour médecin».
À travers sa vie privée, pas toujours heureuse, et sa vie professionnelle, exceptionnellement brillante, c’est une vision en coupe de la Belle Époque qu’on va découvrir sous le regard acéré de Julian Barnes. Il y a d’une part l’image classique de paix et de plaisirs et, de l’autre, les aspects sombres d’une période minée par l’instabilité politique, les crimes et les scandales.
Un grand récit.
«L’homme en rouge», peint par John Sargent en 1881, s’appelait Samuel Pozzi. Né à Bergerac en 1847, il allait vite devenir à Paris LE médecin à la mode, particulièrement apprécié des dames de la bonne société en tant que chirurgien et gynécologue. Beaucoup d’entre elles, dont Sarah Bernhardt, étaient aussi ses maîtresses et le surnommaient «L’Amour médecin».
À travers sa vie privée, pas toujours heureuse, et sa vie professionnelle, exceptionnellement brillante, c’est une vision en coupe de la Belle Époque qu’on va découvrir sous le regard acéré de Julian Barnes. Il y a d’une part l’image classique de paix et de plaisirs et, de l’autre, les aspects sombres d’une période minée par l’instabilité politique, les crimes et les scandales.
Un grand récit.
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