- EAN13
- 9782841004751
- ISBN
- 978-2-84100-475-1
- Éditeur
- Bartillat
- Date de publication
- 11/02/2011
- Nombre de pages
- 265
- Dimensions
- 20,2 x 12,8 x 2,1 cm
- Poids
- 293 g
- Langue
- français
- Langue d'origine
- russe
- Code dewey
- 850
- Fiches UNIMARC
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Le village
roman
De Ivan Bounine
Traduit par Maurice Parijnanine
Préface de Pierre Lorrain
Bartillat
Autre version disponible
La redécouverte du premier roman de Bounine (prix Nobel de littérature 1933). Son premier chef d'œuvre.
Le village fit scandale à Moscou lors de sa parution en 1909, parce qu'il montrait un autre visage de la paysannerie russe, bien différent de celui qu'on représentait habituellement. A travers le destin de deux frères, Tikhon et Kouzma, Le Village fait entrevoir une terrible réalité. Il s'agit d'une fresque aux couleurs sombres, où se manifestent la cupidité, la hargne, la plus féroce des jalousies et l'égoïsme le plus bestial. Thikon s'st enrichi par toutes sortes d'affaires louches et il commet vols, viols et meurtres. Kouzma, ivrogne invétéré, fainéant et bavard, ne vaut guère mieux que son aîné. L'écriture sobre, dense, précise, d'Ivan Bounine, l'accent de vérité qui lui est propre, font véritablement de ce texte un poème noir et désespéré. Au départ Bounine avait qualifié son livre de poème, mais c'est véritablement un roman. André Gide, grand admirateur de Bounine, tenait Le Village pour son chef d'œuvre, " l'ouvrage le plus puissant de la littérature russe du XXe siècle ", répétait-il souvent.
Le village fit scandale à Moscou lors de sa parution en 1909, parce qu'il montrait un autre visage de la paysannerie russe, bien différent de celui qu'on représentait habituellement. A travers le destin de deux frères, Tikhon et Kouzma, Le Village fait entrevoir une terrible réalité. Il s'agit d'une fresque aux couleurs sombres, où se manifestent la cupidité, la hargne, la plus féroce des jalousies et l'égoïsme le plus bestial. Thikon s'st enrichi par toutes sortes d'affaires louches et il commet vols, viols et meurtres. Kouzma, ivrogne invétéré, fainéant et bavard, ne vaut guère mieux que son aîné. L'écriture sobre, dense, précise, d'Ivan Bounine, l'accent de vérité qui lui est propre, font véritablement de ce texte un poème noir et désespéré. Au départ Bounine avait qualifié son livre de poème, mais c'est véritablement un roman. André Gide, grand admirateur de Bounine, tenait Le Village pour son chef d'œuvre, " l'ouvrage le plus puissant de la littérature russe du XXe siècle ", répétait-il souvent.
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