Lumière d'été, puis vient la nuit, roman

Jón Kalman Stefánsson

Grasset

  • Conseillé par (Libraire)
    30 novembre 2020

    Avec poésie et facétie, cet immense auteur islandais révèle les sentiments étouffés et les secrets enfouis.


  • Conseillé par
    29 septembre 2020

    Islande

    De ces huit histoires qui s’entremêlent, je n’ai pas tout aimé ; certaines m’ont plus parlé que d’autres, comme celle de l’ancien administrateur se prenant de passion pour le latin suite à un rêve ; ou celle des deux employés de la coopérative qui croient aux fantômes ; celle de l’ancien ministre qui veut écrire ses mémoires et se dissous dans le crépuscule.

    Un village à part, qui se distingue des autres, sans église ni cimetière.

    La narration, quelque peu alambiquée, à l’image de ces vies qui s’imbriquent les unes dans les autres, a eu quelque peu raison de ma patience et de ma lecture trop hachée.

    Une lecture en demi-teinte, à l’image de ces histoires entre chien et loup, dont je retiens tout de même quelques citations.

    Quelques citations :

    L’être humain est plutôt doué pour transformer les menaces, la mort et le désespoir en monnaie sonnante et trébuchante.

    Nous sommes bien loin d’avoir surmonté notre peur de la nuit – qu’elle soit en nous, sous nos pieds ou n’importe où dans le monde.

    L’image que je retiendrai :

    Celles des fresque peintes derrière la coopérative et sur la maison du professeur.

    https://alexmotamots.fr/lumiere-dete-puis-vient-la-nuit-jon-kalman-stefansson/


  • 28 août 2020

    Un regard poétique sur la condition humaine

    Les histoires individuelles des habitants d’un village Islandais, village perdu entre les fjords de l’Ouest, où le tragique se mêle à la sensualité et au surnaturel. Ni église, ni cimetière, juste un restaurant portant le nom d’une héroïne légendaire : l’électricité est venue ajouter une touche de modernité. Renouant avec le conte humaniste, dans une nature toujours aussi sauvage et époustouflante, dans laquelle les éléments influencent forcément ceux qui l’habitent, le magicien JON KALMAN STEFFANSSON pose son regard poétique sur la condition humaine.