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    19 mai 2020

    Toutes blessent, la dernière tue

    J'ai mis 1 car l'écriture est fluide
    Sinon le récit, prenant durant les 200 premières pages, sombre vite dans l'improbable tant les personnages sont caricaturaux. L'auteure se complaiît dans la maltraistance, la violence, la cruauté et la description d'un amour porté à la dévotion. C'est entre Justine et les malheurs de la vertu et Barbara Cartland chez des Thénardier psychopates.
    Une fin, pour une partie en queue de poisson invraisemblable, pour l'autre très téléphonée.